Les Petits Grands ...

  • Aventures d'écritures partagées
  • En corps de page

 

 

Cet été j'ai marché avec Les Tisseurs de Mots

aux côtés, entre autres, de Joëlle Lengaigne.

La marche a continué avec des textes ...

et des écriveurs d'ateliers

ont suivis les pas des mots de Joëlle ...

 

Les Petits Grands

Croquer un aspect de la vie, un détail, une petite chose récurrente.

Ensuite, par petites touches, poser et donner vie à des couleurs, des formes, des êtres …

Avec toujours cette tendresse pour les petits riens au milieu des grands soucis …

 

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Les Petits Grands I

Les Petits Grands II

 

 

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J
Bravo pour vos textes !<br /> Pourtant j'ai un regret, j'ai écrit une version fleur bleue, gentillette du carnaval.<br /> Le seul carnaval que j'ai croisé (je ne l'ai pas fait exprès) c'était celui de Granville. Les carnavaleux y étaient énervés, impatients, imbibés, chaque encoignure de la ville était transformée en urinoir, de nombreux commerçants avaient protégé leur vitrine avec du contreplaqué. Le carnaval : c'est une foule dans l'exubérance, la ripaille, le lâcher prise. Moi, j'y suis passée du bout des yeux, cachée derrière ma fenêtre d’hôtel, un peu intriguée, mais aussi et surtout le cul serré !<br /> C'est mon carnaval sans odeur, sans sueur, sans véritable contact qui a servi de point de départ à vos textes. J'y retrouve la même frilosité à être dans le gras de la foule, dans la monstruosité de la masse. Souvenir d'enfance, protégée par une cohorte de parents et grand-parents, 14 juillet loin de Nice, concert avec une jolie brunette étiquetée Ange, pour ne pas qu'on y touche, meeting survolté mais coincé dans le cadre de la télévision que l'on maîtrise d'un coup de zappette, un corso fleuri avec ses costumes trop encombrants (que l'on prend même soin d'enlever pour s'amuser), et mouvement de foule dans la lumière de Dieu. ... C'est loin du carnaval défouloir! Rien de charnel, de païen, de jouissif : il y aurait du travail… moi je n'ai su écrire qu'un petit « je porte de la vie, des ondulations et du bruit ».
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J
En fait… en fait, il ne faut pas pleurer Jean-Pierre, les pompons ne disparaissent pas, au contraire ils ont tendance à proliférer. Nous allons demander à Anne-Marie de faire en sorte qu'il neige toute l 'année, tu pourras prendre ton petit carnet et noter chaque découverte d'un nouveau pompon, la date, l'allure du propriétaire. De jour en jour, tu seras plus riche… Voilà !<br /> En fait, je réalise qu'il existe des saisons ? Voilà, je pensais aux pompons pour l'hiver, du coup il faudra noter en alternance, sur la demi saison, les jeans découpés et sur l'été, les lunettes larges aux montures en écaille. Nous allons faire en sorte qu'Anne-Marie ne supporte pas à elle seule toute la météo, du coup nous allons travailler en équipe, voilà !<br /> Merci pour vos textes.
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